Il ne lui aura fallu que quelques décennies pour se tailler une réputation internationale. Spécialisé dans la proctologie, cet éminent praticien est reconnu de tous à travers toute la planète. Ce médecin de génie, a mis au point des techniques qui, aujourd’hui, sont utilisées dans tous les pays.

« Au début, les gens ne croyaient pas à ma vision de la médecine, et devant les résultats, ils n’ont pu que s’incliner ».

Propos recueillis lors de la Conférence Internationale de Bâle en 2019.

« Lorsque l’épidémie de CoViD19 est apparue, j’ai demandé à mon équipe de tout mettre en oeuvre pour trouver la solution. Nous travaillons sans relâche pour mettre fin à ce fléau qui tue aujourd’hui plus qu’il ne faudrait.« 

Depuis le début de l’année 2020, le docteur TROISCARD a résolument pris le taureau par les cornes (et pas que). Des milliers de témoignages sont là pour nous rappeler à quel point la recherche dans le domaine médical fait progresser les sociétés, et les us et coutumes. Le docteur TROISCARD en sait quelque chose, il a contribué à une progression fulgurante des dépistages dans divers domaines, déclinant sa spécialité à de nombreuses disciplines.

 » Le touché rectal n’est pas une fin en soi, il peut se pratiquer de multiples façons, tout est question de doigté… D’ailleurs j’ai quelques volontaires en ce moment qui me permettent d’expérimenter d’autres modes de touchés. Je pense notamment à toute l’équipe d’informaticiens avec lesquels je travaille pour la recherche. Des gens formidables, engagés, volontaires, courageux il faut bien le reconnaitre. »

L’interview

A quel age vous êtes vous pris de passion pour la médecine ?

Déjà enfant, je pratiquais des examens sur mes camarades à l’école. Mais c’est, je pense, dans les vestiaires des clubs de sport que la vocation m’est vraiment venue. J’ai pris rapidement conscience du bien être que j’apportais à mes… patients en quelque sorte. Puis en grandissant, je me suis fait une petite réputation, le bouche à oreille à fonctionné et ensuite j’ai intégré l’université… En suisse, dans le trou de Bâle, comme une évidence.

Quel est votre meilleur souvenir de l’université ?

En y réfléchissant, tous sont bons. Il y a bien ma première intervention au bloc, j’étais interne, c’était émouvant… Pour le patient. Je revois ses petites joues dodues sur lesquelles s’écoulaient ses petites larmes de bonheur, c’était vraiment excitant.

Certains prétendent que vous devriez porter le titre de professeur, qu’en pensez vous ?

C’est plaisant, ça claque bien… Comme une main ferme sur un cul, j’aime bien. Mais pour être plus sérieux, ce titre se mérite, je pense avoir prouver ma valeur en la matière, mais ça n’est pas à moi d’en décider, mes pairs s’en chargeront… Mes pairs… ça me rappelle mon adjoint lorsque j’ai travaillé avec ce groupe d’informaticiens, je ne sais pas pourquoi, mais c’est à lui que je pense là tout de suite.

Docteur TROISCARD, quels seront vos projets une fois que cette pandémie sera terminée ?

Pour l’instant je consacre toute mon énergie à explorer… des trous, c’est passionnant et ça me prend beaucoup de temps, chacun est différent et donc chaque trou est différent, c’est déjà le projet de toute une vie vous savez… Donc je reste concentré, fidèle à ma réputation tel un explorateur, un pionnier, un aventurier, un mineur… J’incarne, je crois, en toute modestie, le digne héritier d’André David, un exemple.